L'ouvrage, pour l'instant intitulé Palourdes et jugement critique : pistes pour l'élaboration d'une critique de la Kritik der Urteilskraft, abordera les grandes questions de la philosophie des Lumières sous l'angle de l'expérience des fruits de mers en tant qu'objets extérieurs à la raison humaine.
L'oeuvre fragmentaire sera divisée en plusieurs fragments, eux-même fragmentés suivant la formule mathématique de la fragmentation du spectre lumineux. Ce faisant, l'auteure revendique son appartenance à la postmodernité. Dans une entrevue imaginaire donnée au Journal, elle défend ainsi ce qu'elle appelle "une poétique qui met l'accent sur le message" : "Je revendique mon appartenance à la postmodernité." Aux critiques véhémentes que lui ont adressées des détracteurs anonymes, elle répond : " Ces gens sont couverts de boue. On parle, dans plusieurs livres que je lirai peut-être, de la postmodernité, tant et si bien que cela se peut seulement que ça existe dans les choses qui sont reconnues exister".
Lorsque le journaliste, dont nous tairons le nom puisque nous ne le connaissons pas, lui demande de citer les fonctions du langage de Jakobson, Cousture rétorque : "Si je vous disais que Jacques avait en sa possessivité six brebis, vous me croiriez. Mais si je vous dis, de manière consistante, qu'il en avait non pas six, mais plutôt sept, l'histoire serait autre que celle qu'elle est." Lorsqu'on lui demande quelle est la septième fonction du langage, Cousture renvoie à la célèbre analogie de Crayfish-Heidegger en agitant de manière circulaire une pelle en hypertexte.
Voici maintenant un extrait du livre en état de décomposition :
Palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes palourdes.
Pour commander de manière éventuelle cet ouvrage révolutionnaire (au sens de Révolution française), veuillez composer plusieurs numéros.
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