2011/10/15

Samedi, 19 février 2011 (Vendredi, 18 février 2011)

Nox: Il y a des cheveux de soie dans l'air, c'est froid. Tout est... puis merde. J'hallucine. Des bibliographies. J'ai  jamais compris comment ça fonctionnait, comment tout ça fonctionnait. Tout est tissé, ça tient ensemble comme dans [insérer la référence inepte], c'est même pas transcendant, c'est juste décevant.


Aurora: Prendre un café avec la Terreur, la sainte Terreur, un allongé sur la table, une cène, des coliformes, leukôs, c'est pas blanc du tout, près d'un cheval, fais-les revenir, les fins du monde, ça me manque, maman, c'est bizarre, tu étais plus vieille au téléphone, c'est un jardin et il fait chaud, il y a un magicien et puis le chapeau, ton frère est malade, on va devoir te laisser avec *** non, les choses existent encore, l'hiver, je suis toujours enfoncé dans la neige, je restais là des heures, ils vont se demander où je suis, c'était un peu comme une tombe, j'aimais les tombes, je les aime, dans un café, toujours, avec la sainte Terreur, un verre de vin et la table du salon...


Die: "C'est là que je vais rester" "Ha!" (Gorgée de café) Bonjour ***, le délire, Bonjour maman, on fait des boîtes, et oui on angoisse toujours. On se parle pour croire que les choses ont changé.

Crepusculum: Je pourrais remettre ça à demain, non, les bibliographies? À quoi bon? Occident: Une rouille qui se vautre sur la pena humana. La mort teinte d'opprobres la rosée qui rampe sur les cordes à linge. Si un jour j'écris de beaux mots, ce jour-là sera demain.

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